“Monsieur” Borelli, l’hommage du Parc à un Prince

Nous sommes un soir de 1982, au Parc des Princes. Alors que la grande équipe des Verts de Saint-Etienne mène 2-1 contre le PSG, celui qu’on appelait encore l’Ange Vert, justement, Dominique Rocheteau égalise. Le Parc tremble de bonheur et, sous le coup de l’émotion, un petit bonhomme à la veste grise et la mallette bien attaché à son poignet, embrasse la pelouse du Parc. Francis Borelli est le président du PSG depuis 1978. Quatre années qu’il donne tout pour son club.

 

Quelques minutes plus tard, il se jettera sur Pilorget, auteur du penalty décisif qui permet au Paris Saint-Germain de décrocher le premier trophée de son existence, douze ans après sa fondation. « Le but de Rocheteau, c’est le moment le plus intense de ma vie. Je n’y croyais plus. C’était cuit, pour plaisanter, je disais aux gens à côté de moi : « on ne peut pas ne pas égaliser ! ». Et puis Rocheteau a marqué… C’était la délivrance ! L’explosion de joie ! Impensable… Alors, j’ai embrassé la pelouse, cette terre bénie du Parc, pour remercier le ciel… comme les Musulmans que je voyais en Tunisie, qui embrassaient la terre pour remercier leur Dieu », racontait à l’époque celui qui vu le jour à Sousse. “On pourra toujours se rappeler de bons moments, d’anecdotes, parce que des bons moments avec lui, il y en a des tonnes, déclarait Pilorget, encore lui, en 2007. Que de bons souvenirs, de rigolade, car Francis Borelli, c’était aussi un homme qui aimait la vie et qui aimait rire.”

 

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