- Supps par terre, c'est quoi ?
Raconter l’enceinte mais surtout sa population. Ecrire sur les supporters, ceux que la passion d’un club anime, pour le meilleur et pour le pire.
Comment un stade devient une seconde maison ? Comment faire vivre une tribune, se l’approprier ? Se plonger sur les rêves, les souvenirs, les doutes, les craintes. Raconter l’Ultra, souvent chahuté dans les médias, toujours amoureux de son équipe.
« Sur le long terme, les propriétaires changent, les joueurs sont transférés et les compétitions ont lieu dans des stades modernes qui remplacent ceux où les souvenirs sont nés. Seule la communauté des fans demeure ; elle est la mémoire du club, la garantie de sa continuité… »
- Supps par terre, c'est comment ?
Toute la saison, nous arpenterons les 20 stades de L1, plus, en bonus, un stade de Ligue 2. L’histoire commencera à Amiens, lors de la seconde journée, pour Amiens – Angers. Le premier match de L1 dans l’histoire du stade de la Licorne.
- Supps par terre, c'est qui ?
Ce sont deux journalistes de 26 et 27 ans. Tous deux diplômés d’un Master de journalisme, où ils se rencontrent, ils ont parfait – c’est le mot – leur gamme un peu partout. D’abord, Christophe-Cécil, brillant pigiste autonome. Contributeur régulier pour Slate, M6 ou encore So Foot, il a déjà également pigé parfois pour Vice Sports.
De l’autre côté du ring, Fred, journaliste à Corse-Matin, a déjà fait vrombir son clavier pour Les Cahiers du football.
- Supps par terre, c'est où ?
De Michel d’Ornano à la Meinau, en passant par la Beaujoire, nous nous déplacerons partout. Même pas peur.
- Supps par terre, c'est pourquoi ?
Inspirés par les « Collectionneurs de stades » anglais, nous souhaitions au départ, pour le plaisir, nous rendre dans les 20 stades de L1. Devant le traitement parfois minimaliste de la question du supporterisme, nous nous sommes également dits qu’il y avait quelque chose à raconter. Et cela un an après l’Euro 2016 et sa flopée de nouveaux stades.